2 mars 2008
OOKA Makoto : Chôfu VIII
Chôfu VIII À une dame de ma connaissanceBôfujin ni teisu On peut bien haïr l'être qui l'a écrit la lecture d'un bon poème réjouit toujours le cœur. C'est vraiment là, nulle part ailleurs que réside le mystère de la poésie. Mystère sans importance en fait...