22 juillet 2014
reine claude
reine claude
souveraines de mon palais
carré d'agneau
l'ombre du chien
il renifle l'ombre
géométrique du carré
et arrondit les angles
soleil d'été
Quatorze juillet
défilé silencieux dans l'arboretum
Parmi les trèfles
les pies sans traite
Un if cognitif sniffe
rhume d’été
cymes des hydrangeas
les abeilles s'abreuvent
Les yeux de l’aulne
grand ouverts
L’arbre à soie
assoit son autorité
Les moutons noirs
boutonnent l’herbe verte
La prairie fait du foin
diable absent